« Cela pourrait être un morceau de menhir, réutilisé. Ce qui voudrait dire que des hommes avaient déjà construit des monuments à une date antérieure à celle déjà estimée » (environ 500 ans auparavant). Une théorie qui « ouvre des nouveaux horizons sur la datation de la présence humaine sur le site de Pornic » . Un appel est lancé à un étudiant qui souhaiterait consacrer une thèse de fin d’étude sur l’intrigante pierre en grès du Prédaire ou celles, déplacées, de Montval.
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